1787 : Bonaparte offre son pucelage a une jeune prostituée dont il s’éprend au premier regard
C’est à l’âge de 18 ans, le 22 novembre 1787, que le futur empereur alors Sous-lieutenant d’artillerie, offrit son pucelage a une jeune prostituée du jardin du Palais Royal, haut lieu de la prostitution parisienne en cette fin de 18ème siècle.
Napoléon Bonaparte avait lui-même un physique ingrat, à en croire ses contemporains, et surtout ses contemporaines. Lorsqu’il était général, des femmes l’ont estimé « maigre comme un parchemin », « osseux, jaune, maladif », « laid » même, selon la duchesse d’Abrantès.
Sa maigre solde ne lui permettant pas de s’offrir la compagnie des dames élégantes, et chères, qui arpentent le jardin du Palais Royal, le jeune Bonaparte se rabat vers une prostituée au « physique faible » selon les propres mots de l’empereur consignés dans ses mémoires dont voici un extrait :
Je sortais des Italiens et me promenais à grands pas sur les allées du Palais Royal. Mon âme, agitée par les sentiments vigoureux qui la caractérisent, me faisait supporter le froid avec indifférence ; mais, l’imagination refroidie, je sentis les rigueurs de la saison et gagnai les galeries. J’étais sur le seuil de ces portes de fer quand mes regards errèrent sur une personne du sexe. L’heure, la taille, sa grande jeunesse ne me firent pas douter qu’elle ne fût une fille. Je la regardais : elle s’arrêta non pas avec cet air grenadier des autres, mais un air convenant parfaitement à l’allure de sa personne. Ce rapport me frappa. Sa timidité m’encouragea et je lui parlai… Je lui parlai, moi qui, pénétré plus que personne de l’odieux de son état, me suis toujours cru souillé par un seul regard… Mais son teint pâle, son physique faible, son organe doux, ne me firent pas un moment en suspens. Ou c’est, me dis-je, une personnne qui me sera utile à l’observation que je veux faire, ou elle n’est qu’une bûche.
– Vous aurez bien froid, lui dis-je, comment pouvez-vous vous résoudre à passer dans les allées ?
– Ah ! monsieur, l’espoir m’anime. Il faut terminer ma soirée.
L’indifférence avec laquelle elle prononça ces mots, le flegmatique de cette réponse me gagna et je passai avec elle.– Vous avez l’air d’une constitution bien faible. Je suis étonné que vous ne soyez pas fatiguée du métier.
– Ah ! dame, monsieur, il faut bien faire quelque chose.
– Cela peut-être, mais n’y a-t-il pas de métier plus propre à votre santé ?
– Non, monsieur, il faut vivre.
Je fus enchanté, je vis qu’elle me répondait au moins, succès qui n’avait pas couronné toutes les tentatives que j’avais faites.– Il faut que vous soyez de quelques pays septentrionaux, car vous bravez le froid.
– Je suis de Nantes en Bretagne.
– Je connais ce pays-là… Il faut, mademoiselle, que vous me fassiez le plaisir de me raconter la perte de votre p…
– C’est un officier qui me l’a pris.
– En êtes-vous fâchée ?
– Oh ! oui, je vous en réponds. (Sa voix prenait une saveur, une onction que je n’avais pas encore remarquée). Je vous en réponds. Ma soeur est bien établie actuellement. Pourquoi ne l’eus-je pas été ?
– Comment êtes-vous venue à Paris ?
– L’officier qui m’avilit, que je déteste, m’abandonna. Il fallut fuir l’indignation d’une mère. Un second se présenta, me conduisit à Paris, m’abandonna, et un troisième avec lequel je viens de vivre trois ans, lui a succédé. Quoique Français, ses affaires l’ont appelé à Londres et il y est. Allons chez vous.
– Mais qu’y ferons-nous ?
– Allons, nous nous chaufferons et vous assouvirez votre plaisir.
J’étais bien loin de devenir scrupuleux, je l’avais agacée pour qu’elle ne se sauvât point quand elle serait pressée par le raisonnement que je lui préparais en contrefaisant une honnêteté que je voulais lui prouver ne pas avoir…(Paris le 22 novembre 1787)
1798 : Bonaparte s’offre les faveurs sexuelles d’une petite arabe de 13 ans …
En 1798, au terme de la victoire des Pyramides lors de la Campagne d’Égypte, Bonaparte s’offrit une petite Arabe de 13 ans qui cherchait à sauver son père. Mais en bon musulman, ne pouvant tolérer qu’une de ses filles souille le sang familial, celui-ci la laissa mettre à mort après le départ du général.
source : CASTELOT A., Napoléon et les femmes, Perrin, 1998, pp. 16
1798 : Bonaparte refuse un lot de femmes asiatiques obèses et qui puent …
Quand Bonaparte apprit, en 1798, que Joséphine le trompait encore avec un amant à qui il avait pourtant « pardonné » par le passé, le général ne voulait pas y croire. C’est son frère Joseph qui lui confirma l’accusation le 21 mars. Juste après sa victoire des Pyramides, pour ne plus penser à son épouse infidèle ou pour se venger, Bonaparte se fit livrer un lot de femmes asiatiques … qu’il réexpédia très vite à son frère Joseph sans les avoir consommées en raison de leur obésité et surtout de l’odeur insoutenable qu’elles dégageaient.
source CASTELOT A., Napoléon et les femmes, Perrin, 1998, pp. 110-111.
1804 – 1814 : Napoléon s’offre une centaine de maîtresses qui coûtent très cher au Trésor
Rien qu’entre 1804 et 1814, Napoléon s’offrit une centaine de maîtresses qui coûtèrent plusieurs centaines de millions d’anciens francs au Trésor. Par exemple, il offre 500 napoléons à une jeune espagnole avec qui il n’a passé qu’une seule nuit … Tandis que la mère de son fils reçoit une pension s’élevant à 50 millions d’anciens francs.
Et pendant que Napoléon vide les caisses du Trésor pour entretenir ses amours volages; les grognards étaient souvent payés en retard et ne recevaient pas leur solde régulièrement …
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