Fille ou garçon ? Depuis l’antiquité, de nombreux savants et médecins ont cherché à choisir le sexe des enfants à naître. HIXSTOIRE vous propose la méthode du docteur allemand Charles Warner, publiée en France en 1868.
N’étant pas médecins, nous ne ferons aucun commentaire sur la crédibilité scientifique qu’on peut donner à ces conseils parus il y a 150 ans …
Voici le dernier chapitre du livre Art d’avoir à volonté des garçons ou des filles : de la procréation des sexes.
CHAPITRE XI
Instructions pratiques pour obtenir à volonté des filles ou des garçons
Nous avons vu dans les précédents chapitres :
- Que le sexe dépend uniquement du degré de maturité que possède l’œuf quand il rencontre les spermatozoïdes ;
- Que, dans la première partie du trajet qu’il a à parcourir, c’est-à-dire après la fin des règles, l’œuf est femelle;
- Que, dans la dernière partie du trajet qu’il a à parcourir, c’est-à-dire cinq à six jours après la fin des règles, l’œuf est mâle ;
- Qu’un mâle vigoureux et une femelle peu robuste engendrent des mâles ;
- Qu’une femelle vigoureuse et un mâle peu robuste engendrent des filles.
D’après ce qui précède, et suivant nos observations personnelles, voici les moyens à employer pour obtenir à volonté des filles ou des garçons.
Pour avoir des filles
Pratiquer les rapports sexuels immédiatement après la cessation des règles, et s’en abstenir au bout de deux à trois jours.
Pour avoir des garçons
Éviter absolument les rapports sexuels pendant les cinq premiers jours qui suivent la cessation des règles, et ne les pratiquer qu’à partir du sixième jour.
Si les parents sont d’âge et de constitution très différents, on devra avoir recours, en outre, aux précautions suivantes :
Pour avoir des filles
Pratiquer les rapports sexuels aux époques précédemment indiquées, et soumettre la femme à un régime fortifiant; lui défendre les fatigues de toute espèce et surtout celles du coït. L’homme devra, au contraire, être soumis à un régime débilitant et fatigué par le coït fréquemment répété.
Pour avoir des garçons
Pratiquer les rapports sexuels aux époques indiquées plus haut, et soumettre l’homme à un régime fortifiant ; lui défendre les fatigues de toute espèce et surtout celles du coït; soumettre, au contraire, la femme à un régime débilitant.
Ces règles ne souffrent pas d’exception. Les exceptions apparentes qu’elles pourraient présenter ne résulteraient que de la différence trop considérable d’âge ou de vigueur qui pourrait exister entre les parents et ne ferait, par conséquent, que venir à l’appui des lois que nous avons posées.
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